Growth Hacking par ci, Growth Hacking par là… Un terme que l’on entend partout, et dont les trésors marketing qu’il promet d’ offrir nous tentent autant qu’ils nous interrogent.

En vérité, je n’aime pas vraiment ce terme marketing : « Growth Hacking » (pourtant très à la mode). Je m’explique.

C’est quoi le Growth Hacking ?

Le growth hacking est un ensemble de techniques – que les Gros Saqueurs appellent des « hacks » –  déployées principalement via les outils web dans le but de booster la croissance d’une entreprise.

Et donc ?

Il y a plusieurs raisons pour lesquelles ce terme (et certaines des méthodes qui s’y rattachent) m’agace :

    • Le terme est tellement vaste : Le « Growth » à la limite, ok… mais la croissance, n’est-ce pas ce que nous visons tous lorsque nous entreprenons des actions marketing ? Et « Hacking »… Désolé, ça paraît stylé, mais c’est pas forcément recommandé.


      La plupart des plateformes publicitaires en ligne mettent en place des règles
      (qu’on l’admette ou non, ces règles sont là pour protéger les utilisateurs) qui, si elles sont détournées, peuvent entrainer des restrictions voire des bannissements de votre compte publicitaire. MERCI POUR LA CROISSANCE ! 👏👏👏

      NB : J’admire les véritables hackers (les bienveillants) qui ne sont, ni plus ni moins, que des cracks de l’informatique  Rien à voir donc, avec le growth hacking…
      R.I.P. Aaron Schwartz 🙌

  • Le terme est galvaudé : (conséquence directe du point ci-dessus)

Bien sûr qu’il existe des gens très balaises qui partagent des astuces habiles pour réussir quand on fait de la vente en ligne – les Bons Gros Saqueurs – mais certains vantent le succès de combines hasardeuses pour faire leur beurre sur le dos de clients mal informés… « Salut à toi jeune entrepreneur ! » 

Évidemment le growth hacking n’est pas qu’une discipline de putaclics, c’est aussi (et surtout) un état d’esprit qui vise à toujours chercher l’optimisation et la performance.

Ma vision du Gros Saquing

En réalité, il y a le Bon et le Mauvais Gros Saqueur.

Images de Didier Bourdon et Bernard Campan dans le sketch du chasseurs - Les Inconnus

Plus sérieusement, le growth hacking ne se résume-t-il pas simplement à une méthodologie basée sur la connaissance fine de ses clients, la mesure des performances et l’optimisation permanente de ses actions marketing ?

Le growth hacker n’est-il pas simplement un esprit curieux et en veille constante ?

4 top-sources « Growth Hacking »

= Mes distilleurs/distilleuses de bonnes pratiques

  • Coralie – Le Citron Rose : Une experte de Pinterest qui donne beaucoup de bonnes idées sur son compte Instagram,
  • Grégoire Gambatto : Qu’il faut suivre sur LinkedIn (dont il est expert) pour voir ce que c’est que de la bonne rédaction,
  • Joseph Donyo : Incontournable si vous avez le nez dans Facebook Ads – à suivre sur Twitter et via son podcast No Pay No Play.
  • Céline Denoual – La Tech dans les Étoiles : Du top contenu pour Google Adsvoir son site web

Bonus : Concernant Facebook Ads et Google Ads, la plupart des « hacks » sont des bonnes pratiques recommandées dans les supports en ligne 👉 Page d’Aide Business Facebook / Page d’Aide Google Ads – On est bien d’accord, c’est pas hyper digeste…

 

SINON IL Y A LES ARTICLES DU BLOG ADVIZOR POUR LA VEILLE SEA / WEBMARKETING / FACEBOOK ADS / GOOGLE ADS

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